Le potard tourne, la nappe se distord,
Raclant les cerveaux accrochés au son,
Une pression sure d'un bouton,
Lache la rage d'un pied fort,
Il sourit dans sa barbe quand vivent ses créations,
Et il sait qu'a la pattern prochaine,
Ses pistes musicales, toutes, iront,
Lâcher sur les danseurs une pluie de décibels
Alors dans la fosse, comme un seul cri,
L'orgasme collectif chevauchera les airs,
Un puissant hommage a celui qui,
Les enmenent, par sa musique dans un autre univers.
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