mardi 1 avril 2008

Quatrinz

Que le vent cingle mon visage si il lui plait,
Sa fraicheur ne saurait être passée pour colère,
Comme tes petits coups ne sauraient me blesser,
Abdique donc! Ma bouche ne lâchera pas la pointe de tes seins.

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Cette coupe au nectar frais et sauvage,
La chair de ses bords s'émeut de mes gouts avides,
Il ne saurait y avoir de doute ici comme aucun recul,
Ton sexe est une source ou le plaisir est de miel,

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