mardi 1 avril 2008

Robayats de 2007

De vue de la plus pur perles, ne nait nul dégout,
De la beauté d'un ciel constellé d'étoile, nul ne peut s'offusquer,
De la joie qu'apporte un divin chant, personne ne saurait souffrir,
De tout ces atours réunis en toi, je reste sans voix aucune.





Tous m'ont hurlé et hurlent Ton nom,
Ils me pointent du doigt comme il pointe mon manque de foi,
Qu'ils sachent que je ne réfute pas Ton existence,
C'est de Ta connaissance de la mienne dont je doute...

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